3 choses à savoir sur la sobriété numérique

site de traduction en ligne
Quel est le meilleur agence de traduction en ligne ?
mai 31, 2022
logiciel de gestion de formation
Pourquoi opter pour un logiciel de gestion de la formation ?
juin 23, 2022

3 choses à savoir sur la sobriété numérique

Sobriété numérique

À la faveur de l’évolution de la technologie et de l’augmentation continue du débit de connexion au réseau Internet, on voit de plus en plus de personnes s’adonner aux téléchargements en ligne. Qu’il s’agisse de téléchargements de musiques ou encore de jeux vidéos, la fréquence de ces actions ne cesse de croître jour après jour. Malheureusement, cette augmentation des téléchargements impacte négativement l’environnement, ce qui pousse bon nombre de personnes à opter diverses solutions dont la sobriété numérique fait partie. Si vous souhaitez avoir de plus amples informations sur le sujet, vous pouvez lire en entièreté cet article.

Une démarche environnementale

La sobriété numérique est définie par bien de spécialistes comme une démarche environnementale. En d’autres termes, il s’agit d’une pratique qui est essentiellement axée sur le respect de l’environnement ainsi que celui des pratiques écologiques. Par ailleurs, ce concept qui a irruption il y a une dizaine d’années ne concerne pas uniquement une succession de petites actions, mais plutôt un changement plus global. C’est pourquoi les adeptes de la sobriété numérique préconisent la réduction de l’utilisation du web par tout un chacun. Ils suggèrent également la diminution des achats de matériels technologiques tels que le smartphone. Ainsi, nous pourrions vivre, selon eux, dans un monde plus sain et débarrassé des déchets liés au numérique.

Aussi, cette approche a pour but de modifier progressivement les habitudes des populations vis-à-vis du web. Parmi ces habitudes que souhaite transformer la sobriété numérique, il y a celle de la surconsommation des données mobiles. En effet, cette habitude, partagée par de nombreux usagers du web, est considérée comme l’une des plus polluantes pour l’atmosphère. Cela s’explique par le fait que l’utilisation prolongée des réseaux internet entraîne une surchauffe des serveurs informatiques. Ce qui est à la base de grosses dépenses sur le plan énergétique.

Une approche contraire à l’ébriété numérique

Il faut également souligner que la sobriété numérique est une approche qui se veut contraire à celle dite de l’ébriété numérique. Par ébriété numérique, entendez l’ensemble des pratiques qui favorise l’excès de consommation des réseaux internet. Cette notion renferme deux principales formes de surconsommation. La première est la surconsommation en électricité. À ce niveau, les consommations cumulées de millions d’utilisateurs du web sont à la base d’une surproduction des serveurs informatiques, ce qui accroît leur consommation en électricité. Cette situation peut à la longue impacter négativement l’équilibre environnemental.

La seconde forme de surconsommation prônée par l’ébriété numérique est la surconsommation au niveau des matières premières. Il s’agit ici des matières premières utilisées dans la fabrication de matériaux informatiques :

  • les ordinateurs ;
  • les smartphones ;
  • les tablettes numériques.

Une astuce de réduction du CO2 streaming

Les gestes promus par la sobriété numérique visent la réduction des consommations habituelles du numérique. Entre autres habitudes de consommation numérique, le streaming figure en bonne place. Selon plusieurs sources, les téléchargements en ligne représenteraient en réalité près de 80% du trafic numérique mondial.

Ce qui augmente la production de CO2, d’où l’appellation CO2 streaming. Autre raison insoupçonnée de l’augmentation de la production de CO2 streaming, la transition numérique réalisée par plusieurs entreprises. Il convient donc à tous d’adopter la sobriété numérique.

EMI
EMI